Pris au dépourvu par une rumeur sortie de nulle part et confirmée par personne, Cristiano Ronaldo découvre via Facebook qu’il est attendu au Wydad. «J’aime le Maroc», marmonne-t-il, hésitant, en se demandant si ses abdos survivront au tajine. Le club n’a pas besoin de lui, dit-il, et Casablanca, c’est «presque chez moi», non?