Avant de fouler le parquet du Complexe Moulay Abdellah, les équipes engagées dans la Conférence Kalahari ont pris part à une journée de rencontre avec les médias. Une ambiance détendue, des déclarations pleines d’ambition, à quelques heures du coup d’envoi de cette première escale de la BAL 2025.
Au programme ce samedi 5 avril, deux premières affiches pour lancer les hostilités: Rivers Hoopers (Nigeria) ouvre le bal face au Stade Malien, avant que le FUS de Rabat ne défie Al Ittihad d’Alexandrie dans un choc attendu, à 19h.
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Une entrée en lice loin d’être simple pour les Rbatis, face à une formation égyptienne certes novice dans la BAL, mais réputée solide et bien armée.
Le coach du FUS, Said Bouzidi, mise sur le soutien du public marocain pour faire la différence : «Nous comptons sur nos supporters et espérons qu’ils seront présents toute la semaine. On aura besoin de leur énergie pour aller le plus loin possible».
Conscient du niveau élevé de la compétition, le capitaine rbati Abdelhakim Zouita insiste sur la force du collectif : «On a mis l’accent sur l’aspect collectif pour répondre à l’adversité».
«La BAL a vraiment choisi le bon endroit»
— Onyebuchi Vincent Nwaiwu, capitaine des Rivers Hoopers Nigéria
De leur côté, les Rivers Hoopers, adversaires du FUS dimanche 6 avril, semblent déjà bien acclimatés à Rabat. Leur leader Onyebuchi Vincent Nwaiwu, salue l’environnement : «Il y a une bonne ambiance ici. Le centre d’entraînement est juste à côté de l’hôtel, c’est agréable de pouvoir marcher pour s’y rendre. La BAL a vraiment choisi le bon endroit».
Mais pas question de se relâcher pour le coach nigérian Ogoh Odaudu. «Nous allons observer attentivement le match du FUS samedi, pour préparer notre rencontre de dimanche de manière stratégique», insiste le meilleur coach de la saison 2024.
Même prudence du côté d’Al Ittihad d’Alexandrie. Son entraîneur, Omar Ahmed Mohamed Soliman, se méfie d’un FUS qu’il connaît bien :
«L’ambiance au Maroc est superbe (...) jouer contre le FUS sera une grosse entrée en matière. Ils ont un très bon coach, Said Bouzidi, qui est d’ailleurs un ami proche».
Le FUS, qui s’était arrêté en quart de finale la saison dernière, nourrit cette fois de plus grandes ambitions. Objectif affiché : décrocher le titre et marquer l’histoire du basketball marocain.
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