C’est une sacrée bombe qu’a lancée, lundi 27 février, Le Parisien en informant qu’Achraf Hakimi est visé par une enquête pour viol. Une information aussitôt reprise par tous les médias et qui, depuis, fait le tour de la toile.
«Une jeune femme s’est rendue ce week-end au commissariat, où elle a déclaré avoir été violée par le joueur du Paris Saint-Germain. Elle aurait refusé de porter plainte, mais le parquet s’est autosaisi de l’affaire», a écrit le quotidien français.
Dans son édition de ce mercredi 1er mars, le journal nous révèle la réaction du Paris Saint-Germain, club du Lion de l’Atlas, après l’éclatement de cette affaire.
«Au PSG, c’est tout d’abord l’étonnement qui a gagné les bureaux du siège, lundi sur les coups de 19 heures, lorsque l’information a été mise en ligne. La révélation de l’ouverture d’une enquête judiciaire touchant un joueur de la dimension du Marocain, titulaire au PSG, ami de Kylian Mbappé et demi-finaliste de la dernière Coupe du monde n’est pas neutre», explique d’abord le journal.
Et d’ajouter: «Passé la surprise et le choc, le PSG s’est alors mis en ordre de marche pour récolter divers éléments sur le sujet et prendre contact avec l’entourage de l’international marocain. Tout au long de la journée de mardi, les réunions se sont succédé entre le PSG et des conseillers d’Achraf Hakimi pour évoquer l’affaire. Au cours des dernières heures, le service juridique du club, les avocats ont étudié le dossier et planché dessus afin d’accompagner le joueur».
Dans une déclaration au Parisien, un membre du PSG affirme que «le club est au soutien du joueur qui a fermement démenti les accusations et fait confiance à la justice. Le PSG est une institution qui promeut le respect sur le terrain et en dehors».
Touché aux ischio-jambiers lors du 8e de finale aller de Ligue des champions perdu face au Bayern (0-1), le 14 février, Achraf Hakimi est attendu à l’entraînement ce mercredi midi.
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