Alors que les regards sont actuellement tournés vers les États-Unis, hôtes de la première édition de la Coupe du monde des clubs dans son nouveau format, plusieurs nations penseraient déjà à 2029. Parmi elles figurerait le Maroc, qui confirme, année après année, son statut de terre d’accueil du football mondial.
Selon le journaliste britannique Ben Jacobs, «les États-Unis, l’Espagne, le Brésil et le Maroc auraient d’ores et déjà manifesté leur intérêt pour organiser l’édition 2029. Aucune décision ne serait toutefois attendue dans l’immédiat de la part de la FIFA».
Du côté espagnol, des médias locaux rapportent que Rafael Louzán, président de la Fédération espagnole, a rencontré Gianni Infantino afin d’exprimer la volonté de son pays d’accueillir un événement majeur de la FIFA avant la Coupe du monde 2030, que l’Espagne coorganisera avec le Portugal et le Maroc.
Quant au Royaume, il poursuit sa montée en puissance. Enchaînant les candidatures et les organisations de tournois majeurs, de la CAN 2025 à la CAN féminine, en passant par la Coupe du monde U17 féminine ou encore la CAN de futsal, le Maroc ne cesse de renforcer sa crédibilité sur la scène internationale.
Les deux pays pourraient tirer un avantage stratégique majeur en coorganisant la Coupe du monde des clubs 2029. À un an de la Coupe du monde 2030, l’Espagne et le Maroc auraient là une occasion idéale de tester leurs infrastructures, affiner leur coordination logistique et renforcer la coopération entre comités d’organisation. Cette répétition grandeur nature permettrait également d’identifier d’éventuelles failles et de les corriger avant l’échéance planétaire.
Affaire à suivre…
