Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheïreddine Zetchi, qui désirait de siéger au Conseil de la fédération internationale de football (FIFA), a vu son rêve s’évaporer après la décision la Commission de contrôle de l’instance basée à Zurich.
En effet, suite à la réunion de ladite commission, ce mardi 26 janvier, il a été décidé de rejeter la candidature de l’Algérien, ainsi que celles de l’ancien président de la CAF, Ahmad Ahmad, et l’actuel président par intérim, Constant Omari.
Dans un courrier adressé à l’administration de la CAF, le patron de la Commission de Contrôle de la FIFA, Mukul Mudgal, indique que le dossier du Congolais ne peut être approuvé en raison «d’une enquête formelle en cours par la commission d'éthique de la FIFA». La même correspondance explique qu’Ahmad Ahmad, déjà suspendu par la FIFA, est également inéligible.
Mais le plus étonnant est la raison du refus du dossier du patron du foot algérien. Toujours selon Mukul Mudgal, Kheïreddine Zetchi, a omis de «signaler des sanctions imposées par la CAF et la Ligue de football professionnel d’Algérie».
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Au lendemain de cette décision, Zetchi a expliqué dans une vidéo publiée sur la chaîne Youtube de la Fédération algérienne de football, qu’il avait rempli le formulaire de «bonne foi».
Le patron de la FAF a surtout voulu duper l’instance dirigeante du football mondial, mais comme dit l’adage: à malin, malin et demi.