En 4 matchs, l'OCK d'Aït Djoudi n'a pas pu réaliser plus de 2 points accumulés après 2 matchs nuls et deux défaites. Des résultats suffisants pour faire réfléchir les dirigeants du club, qui ont décidé de choisir un bouc émissaire en la personne du coach algérien qui était pourtant très apprécié par les supporters.
Son faible effectif sur le papier lui a coûté des points, et comme par magie c'est lui qui saute en premier... au bout de 4 journées seulement. Un indice sur la gestion du football au Maroc, au sein d'un championnat où jamais personne n'est à l'abri d'un limogeage.