Il est bien parti pour être titulaire ce soir, Nabil Dirar et l'AS Monaco affrontent le Borussia Dortmund et tentent de faire tomber le fameux mur jaune de l’équipe allemande. Dirar a récemment crédité de prestations très positives en coupe de France où le club de la principauté s’est qualifié pour les demi-finales grâce à une victoire face à Lille (2-1) avec notamment une passe décisive.
En Ligue 1, le club du rocher défraye la chronique et pose toujours un problème au Paris Saint-Germain, Dirar et les siens sont leaders du championnat avec 74 points contre 71 pour le PSG. En dernier lieu, et alors que l’équipe aurait pu connaitre un coup de mou face à Angers, Nabil a surgi et a servi le buteur colombien Radamel Falcao d’une merveille de caviar qui a permis aux Monégasques de décrocher trois précieux points et garder les commandes de la Ligue 1.
Ces prestations positives augmentent les chances de titularisation de Nabil Dirar face à Dortmund. Cette affiche est jugée assez équilibrée et pourrait donner lieu à n’importe quel scénarios car Monaco a prouvé que si c’est une équipe qui peut encaisser des buts, elle sait aussi en marquer beaucoup. Outsiders de cette compétition, les coéquipiers de Kylian Mbappe pourraient s’offrir un nouveau quart d’heure de gloire à Monaco … 13 ans plus tard.
Pour sa part, la Juventus de Turin accueille l’ogre catalan, historique tombeur du Paris Saint-Germain (6-5) en 8e de finale. Dans ce remake de la finale 2015, le doute reste entier sur une éventuelle titularisation de Mehdi Benatia, l’ancien défenseur des Lions de l’Atlas. Lui qui avait déjà marqué contre cette monstrueuse équipe lors de la demi-finale de 2015 alors qu’il évoluait au Bayern, sera-t-il aussi inspiré ce soir?
Benatia a tout à prouver, après avoir renoncé au dernier rassemblement des Lions de l’Atlas et à son brassard pour retrouver du temps de jeu et être plus compétitif au sein de la Juve. Souvent pointé du doigt pour ses erreurs défensives, il pourrait même changer de championnat dès le mercato estival. A moins qu'im ne fassu preuve d'imperméabilité face à la seconde meilleure attaque d’Europe, constituée notamment de la MSN.