Le président du WAC, Said Naciri, a procédé au licenciement de trois salariés dont deux pour s’être immiscés dans des affaires qui ne rentrent pas dans leurs prérogatives.
Le troisième est accusé de divulgation d’informations confidentielles du WAC à un dirigeant du club rival, le Raja.
Naciri aurait eu vent de cette «trahison» par on ne sait quel correspondant honorable. L’histoire ne dit pas, non plus, quelles informations si confidentielles le présumé espion a fuitées.
On n’est pas quand même au Pentagone, ni au Kremlin pour parler d’informations cruciales qui risquent de nuire au WAC.
Le foot est devenu fou et ce n’est pas seulement à Casablanca que le ballon rond perd le nord. Il y a moins d’une semaine, le Barça a résilié le contrat d’un nouveau joueur coupable d’avoir twitté son admiration pour le Réal Madrid.