Le Raja de Casablanca a le plus grand besoin aujourd’hui d’être adossé au plus grand nombre possible de sponsors. C’est à ce prix qu’il compte en tout cas sortir du marasme financier dans lequel l’a laissé englué son jeune président sortant, Mohamed Boudrika.
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En plus de son sponsor historique, un géant de l’électroménager local, qui l’accompagne depuis quelque 12 années, le Raja disposait déjà d’une bonne brochette de partenaires : un concessionnaire automobile, un assureur, une enseigne portuaire, plusieurs sociétés d’agroalimentaire, un équipementier sportif…
Aujourd’hui, une grande enseigne nationale de distribution de carburants vient à son tour d’exprimer son intérêt en vue d’accompagner la nouvelle vision portée par le nouveau président, Said Hasbane. Sauf que ce nouveau sponsor compte s’afficher, en contrepartie d’une offre financière alléchante, sur l’essentiel du maillot des Verts.
Or cette exigence évince un autre grand sponsor du club. Ce qui pose au Raja un problème de fidélité, lui qui vit en couple solide et stable avec ce géant de l’électroménager depuis maintenant plus d’une décennie.