Comme il l’avait fait aux JO de Londres en 2012, le secrétaire général de l’ONU portera la flamme olympique à Rio. Après, il ne lui restera plus qu’à porter la flamme de la solitude.
Il quittera, fort heureusement, son poste fin décembre, où il n’aura laissé dans ce bas monde que guerres, terrorisme et migrants. Personne ne le regrettera surtout pas les Marocains qui ne lui pardonneront jamais sa sortie de route à Tindouf. Il s’est occupé alors de ce qui n’est pas occupé dans la Sahara marocain.