La polémique et les remous suscités par la dernière assemblée générale du Raja ne sont pas près de s’arrêter. Les rapports moral et financier qui sont passés comme une lettre à la poste font l’objet des critiques les plus acerbes. De nombreux adhérents en veulent au président Mohamed Boudrika pour l’«absence de transparence» ayant marqué l'élaboration desdits rapports. La polémique ne cesse d’enfler. Et il est certain qu’elle ne cessera pas de sitôt.