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Coupe de la CAF. Walid Regragui: "Je ne chercherai pas d’alibi contre le TP Mazembe"

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Kiosque360. Le Fath de Rabat aura une occasion en or ce samedi de surmonter l’obstacle de l’ogre africain, le TP Mazembe, et filer vers la finale de la Coupe de la CAF. Malgré l’absence de certains joueurs clés du FUS, son coach, Walid Regragui estime qu’il ne s’agit pas là d’un alibi, pour ne pas battre les Congolais.
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Deux joueurs importants du Fath du Rabat, mais qui n’ont pas été du voyage éclair et fatiguant de Lubumbashi, pour le match aller contre le TP Mazembe, perdu 1-0, seront de la partie cette fois-ci à Rabat.

En effet, comme le rapporte Al Ahdath Al Maghribia de ce week-end des 21-22 octobre, Walid Regragui pourra compter sur les services de Hicham Laroui et Saâd Aït El Kharsa lors du match retour contre le Tout Puissant Mazembe prévu ce samedi à 21h30 au stade Moulay El Hassan de Rabat. Ces deux joueurs étaient sous le coup d’une suspension, le premier pour cumul de cartons jaunes, le second pour un carton rouge écopé lors de la rencontre en quarts de finale contre le Club Sfaxien de Tunisie.

Cependant, le FUS pourrait souffrir de l’absence de deux joueurs clés, à savoir Ayoub Skouma et le Sénégalais AS Mandaw Sy, pour cause de blessures. Même si Walid Regragui considère que la blessure de ces deux éléments est un «coup dur» pour le FUS, il n’en demeure pas moins confiant quant à la capacité de leurs remplaçants, comme Karim Benarif et un autre jeune talent qu’il n’a pas nommé, de combler efficacement ces absences.

Mais le coach a mis en garde contre une mauvaise interprétation de cet état des lieux, sachant qu’il a une liste limitée à seulement 18 joueurs en coupe de la CAF, et dont bon nombre sont blessés. «Je ne suis pas de ces entraîneurs qui se cachent derrière les alibis pour justifier tel ou tel résultat. Nous disposons de bons joueurs, et nous n’avons pas peur d’affronter le champion continental en titre, même si on peut considérer cet adversaire comme le Real Madrid ou le Barcelone de l’Afrique», conclut-il.

Par Mohammed Ould Boah
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