Fidèle à lui-même, c’est à coups de «3andak sa7» («tu as raison!») que Regragui tente de dribbler les questions de La Brigade. A propos du retour de Hamdallah, il ne dit mot, mais on en sait plus sur sa parfaite entente avec ses joueurs: tous parlent une même, très approximative, darija. Décidément, ça semble créer des liens...
Devant La Brigade, Abderrazak Hamdallah continue de se faire désirer parmi les Lions de l’Atlas. Le sélectionneur national étant en quête d’efficacité, de résultats et de régularité dans le rendement, il n’est cependant pas sûr de trouver sa place. Hamdallah sera-t-il à la hauteur? Mystère...
Soulagé du départ de «tonton Vahid», Hakim Ziyech avoue, devant la Brigade, vouloir revenir en équipe nationale. «Certes, j’ai raté un pénalty décisif, mais lui, il a raté toute une Coupe (d’Afrique)», confie le joueur, soulignant qu’à chaque défaite, l’ancien sélectionneur se contentait de parler d’un adversaire fort, oubliant sa forte tête.
Il devait prendre part aux Jeux Méditerranéens d’Oran dont la junte se gargarise en ce moment: un pur-sang français a préféré galoper à vive allure vers le Maroc. C’est dire tout son calvaire oranais, ainsi que celui des autres chevaux, venus d'Espagne. Devant la Brigade, il s'est même cabré de rage, sabots sur la table.
Il aura battu bien des records et fait honneur à son pays en athlétisme, mais c’est en vraie victime, ayant a priori été plumé jusqu’au dernier sou par son ex-épouse, que Saïd Aouita se présente devant la brigade. Voici sa version.
Enfin réconcilié avec ses joueurs maudits, en attendant Ziyech, et confirmé dans son poste, le coach national explique pourquoi il a mis de l’eau dans… le verre de Mazraoui. «Je préfère vite changer d’avis plutôt que d’être très vite changé», dit-il. Aveux complets.
Le cuisant échec des Fennecs à la CAN 2021, évidemment à cause du Maroc, a inspiré à Saïd Chengriha une réunion de son état-major, pour préparer une revanche. Dans le viseur des hauts gradés: éviter à tout prix que le nom de Chengriha ne soit associé à une future défaite de l’équipe algérienne de football.
Marocophobe jusqu’au bout des ongles, passé expert ès cacophonie, il a franchi un nouveau palier en injuriant les Marocaines. Bien mal lui en a pris, car il doit répondre de ses propos malveillants et répétés. Le début de la fin de la voix de ses maîtres... Cette fois, il ne peut plusmettre ses déboires sur le compte du «shour». Pathétique Derraji!
Entre le Barça et les couleurs du Onze national, Abde Ezzalzouli a déjà fait son choix et a demandé un délai de grâce, jusqu’en mars prochain. Le chanteur Hatim Ammor propose d’intervenir pour lui faire changer d’avis avec un clip à même de porter la poisse à l’ancienne équipe de Messi.
Grand féru des Lions de l’Atlas, il a néanmoins péché en diffusant une chanson à leur gloire peu avant leur défaite. Ce qui lui a valu, sur les réseaux sociaux, le surnom de «Grand Kouass» (porteur de poisse). Mais sa bonne foi plaide en sa faveur. Pourvu que, la prochaine fois, il dirige son fusil -pardon ses louanges- vers les ennemis.
Ses posts lui ont valu une véritable volée de bois vert. Mais le commentateur sportif qui a outrepassé ses prérogatives, a beau tenter d’éteindre le feu, pas celui du nord de l’Algérie, mais sur les réseaux sociaux, c’est sans espoir. La voix de ses maîtres au palais d'El Mouradia vient de rater une belle occasion de la fermer.
Nos intervieweurs ont “cuisiné” Badr Hari peu avant son combat contre le Néerlandais Rico Verhoeven. Il promet une victoire retentissante. Notre Badr national ne manque pas d’humour, pour autant. Et tout compte fait- une fois n’est pas coutume- la Brigade est de tout cœur avec lui. Good luck, Badr.
