Said Naciri a préféré prendre l’avion pour Madrid, pour rejoindre le stade Bernabeu et assister ainsi au classico espagnol qui a opposé le Real Madrid à son rival de toujours le FC Barcelone.
Circonstances atténuantes pour un président qui a fait l’école buissonnière : Naciri est resté en contact avec les dirigeants du WAC pour s’enquérir de l’évolution du match WAC-IRT.
Question pour un champion : si jamais les supporters du WAC suivaient l’exemple du président Naciri, le club aurait-ils joué seul face aux 10.000 supporters tangérois ?