À la veille de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Tokyo, jeudi a réservé une nouvelle mauvaise surprise aux organisateurs, qui ont dû démettre de ses fonctions le directeur artistique du spectacle de vendredi, pour une blague ancienne sur l'Holocauste.
Dans cet entretien à distance avec le360 sport, Asmaa Niang, la championne marocaine de Judo revient sur sa préparation, nous explique les raisons de l’absence de son entraineur à ses côtés lors des Jeux Olympiques de Tokyo et nous parle de ses ambitions au pays du soleil levant. Rencontre.
Un contingent de sept pugilistes défendront les couleurs nationales au tournoi de boxe comptant pour les jeux olympiques de Tokyo. Objectif: rendre au noble art vert et rouge son lustre d'antan et emboîter le pas à Mohammed Rabii, Tahar Tamsamani et les frères Achik, Abdelhaq et Mohammed.
Alors que de nombreuses sportives ont renoncé aux Jeux Olympiques ou n’ont pas été retenues par leur comité national olympique, la boxeuse marocaine Khadija El Mardi, mère pour la troisième fois depuis mai dernier, est déterminée à relever ce défi. Elle promet de sortir le meilleur d’elle-même pour briller à Tokyo.
Seule en lice, Brisbane a décroché mercredi l'organisation des JO d'été de 2032, permettant au monde olympique de préparer l'avenir à deux jours de l'ouverture des Jeux de Tokyo, troublés par les surcoûts et la pandémie.
Le bilan de la participation du Maroc aux Jeux Olympiques (JO) s'élève à 23 médailles depuis le premier sacre du Royaume à Rome en 1960, dont 6 en or, 5 en argent et 12 en bronze.
Très rares sont les athlètes qui peuvent se vanter d’avoir remporté une médaille d’or en battant le record olympique. Said Aouita, légende du sport marocain, est l’un d’entre eux. Voici son histoire.
Un premier cas de Covid-19 a été recensé au sein du village olympique a annoncé samedi le comité d'organisation des Jeux olympiques de Tokyo (TOCOG).
Le Maroc a remporté une honorable moisson de médailles aux Jeux Olympiques, mais certaines auront pour toujours un goût particulier. C'est le cas de celle glanée par Nawal El Moutawakel en 1984.
Le Serbe Novak Djokovic a annoncé jeudi qu'il participerait au tournoi de tennis des Jeux olympiques de Tokyo, s'offrant l'occasion de réaliser le premier "Golden Slam" de l'histoire pour un joueur.
La flamme olympique est arrivée vendredi à Tokyo, mais le public a été tenu à l'écart d'une cérémonie plutôt morne, au lendemain de la décision inédite d'interdire les spectateurs sur la plupart des sites des JO, par crainte du Covid-19.
Le gouvernement japonais a décidé jeudi de réinstaurer à Tokyo un état d'urgence sanitaire pendant toute la durée des Jeux olympiques qui doivent s'ouvrir dans deux semaines, laissant présager des JO avec peu ou pas de spectateurs.
