N’enterrez pas Ayoub El Kaâbi!
Si El Kaabi avait certaines qualités, en plus de toutes celles qu’il possède déjà, ce n’est pas au Wydad de Casablanca qu’il évoluerait mais au Real Madrid, en alternative crédible de Benzema!
Si El Kaabi avait certaines qualités, en plus de toutes celles qu’il possède déjà, ce n’est pas au Wydad de Casablanca qu’il évoluerait mais au Real Madrid, en alternative crédible de Benzema!
Le Wydad et le Raja, en ballotage favorable avant le retour des demi-finales africaines, devraient arrêter de jouer les pleureuses. Et corriger leurs petites faiblesses dans le jeu, pour aller au bout.
Les quarts de finale de la C1 africaine démarrent aujourd’hui avec le déplacement du Wydad chez le Mouloudia d’Alger. Les Rouges savent ce qu’ils doivent faire, s’ils veulent poursuivre leur rêve africain…
La Botola vient enfin de désigner son champion d’automne, même si on est en plein printemps. Mais le bilan à mi-parcours est globalement décevant.
Alors qu’elle avait les moyens de bousculer le leader, l’équipe de Berkane, qui regorge pourtant de joueurs de talent, a choisi de se saborder en multipliant les actes d’antijeu et les gestes d’énervement.
Même s’il a été avorté, le projet de Super League risque de donner des idées, en Europe déjà, mais aussi dans le reste du monde. Une brèche a été ouverte et l’appât du gain, qui est universel, finira bien par s’y engouffrer.
Bon courage au Raja de Casablanca, qui doit remplacer un entraineur fidèle et surtout performant.
J’espère que Jurgen Klopp et Pep Guardiola n’enverront jamais leur CV pour remplacer Jamal Sellami au Raja. Parce qu’ils risquent de sauter au premier couac, un nul ou une petite défaite et tout sera fini pour eux!
Le dernier match qualificatif à la CAN a souri à Munir et Taarabt. Aux dépens des joueurs de la Botola, vrais perdants de la soirée.
Le sélectionneur national a eu raison d’ouvrir son laboratoire d’expérimentations avec le match de la Mauritanie. C’est le moment ou jamais de savoir ce que valent certains «Lions», souvent appelés, jamais ou rarement alignés.
En remportant le grand derby casablancais (2-0), le Wydad a plongé le Raja dans le doute et confirmé ses excellentes dispositions actuelles. Mais attention, ce n’est que la vérité du moment, sans plus.
Au Maroc, et sauf cas exceptionnel, on ne vire jamais un entraineur après un nul. Et c’est peut-être pour cela que certains jouent pour le nul, sans chercher plus loin.