Kiosque360. Alors que le Hassania d’Agadir peine à verser les primes de signature à plusieurs de ses joueurs, le club soussi prévoit de se séparer de plusieurs de ses footballeurs, lors du mercato hivernal. D’autres, dont le contrat prend fin au terme de la saison, suivront en été.
Kiosque360. La Ligue nationale de football professionnel (LNPF) voudrait interdire aux clubs marocains qui ont des problèmes financiers tout recrutement lors du prochain mercato.
Kiosque360. Face à la crise financière, la direction du Raja n’a pas trouvé mieux que d’augmenter les prix des billets pour le prochain derby, qui aura lieu le 27 novembre à Agadir. Pour certains gradins, le prix a plus que doublé.
Une énième mauvaise nouvelle vient d'aggraver la crise financière déjà aiguë du Raja. Le président Said Hasbane verra la prime de la fédération royale marocaine de football atterrir dans les comptes de Rachid Taoussi et ses adjoints pour combler leurs arriérés de salaires et primes lorsqu’ils étaient aux commandes du club.
La crise financière du Raja prend du temps à se dissoudre bien que le président est en train de trouver des solutions alternatives à quelques charges. Après un bon début de saison, 2 victoires et un match nul, les joueurs commencent à s'impatienter car les primes tardent.
Le Kawkab de Marrakech est en train de panser, un tant soit peu, sa plaie financière. La cession de son défenseur malien, Aboubacar Kouyaté, au Sporting de Lisbonne a rapporté quelque 5 millions de dirhams au club bahjaoui.
Plusieurs cadres du Raja de Casablanca, relevant du staff technique et du centre de formation du club, n’ont pas reçu leurs salaires depuis trois mois. Avec les 5 huis clos imposés il y a une semaine au Raja par la FRMF, ils craignent l’aggravation de leur situation. Craintes qu’ils ont ouvertement exprimées à la direction du club.
Le Hassania d’Agadir traverse actuellement une grave crise financière. A tel point que l’administration du club n’arrive plus à s’acquitter des salaires des joueurs et du staff technique.
Plusieurs clubs de la Botola 1 vivent des crises financières aigues telles le MAT, le KAC ou le Hassania d’Agadir. On dirait que le professionnalisme n’est pas passé par la gestion. Le public pointe du doigt la mauvaise gestion et évoque entre autres l’achat des joueurs étrangers à des prix exorbitants.
